[2] de Certeau M., L'invention du quotidien 1. Arts de faire, Paris, Gallimard, Folio, 1990, p.120.
[3] Cifali M., Adresse à Michel de Certeau, Bloc-Notes de la psychanalyse, ndeg.7, 1987.
[4] Cifali M., Transmission de l'expérience, entre parole et écriture, Education permanente, ndeg.127, 1996.
[5] Adam M, Le récit, Paris, PUF, Que sais-je ?, 1994; Benjamin W., Le narrateur, Rastelli raconte et autres récits, Paris, Seuil, 1987; Blanchot M., Le livre à venir, Paris, Folio Gallimard, 1993; Delbos G, Jorion P. La transmission des savoirs, Paris, Ed. de la Maison de l'homme, 1984; De Certeau M., Histoire et psychanalyse. Entre science et fiction, Paris,Gallimard, Folio, 1987; Descola P., Les lances du crépuscule, Paris, Plon, 1994; Detienne M., Vernant J-P., Les ruses de l'intelligence, la métis des Grecs, Paris, Flammarion, 1974; Ferry J-M., Les puissances de l'expérience, Paris, Cerf, 1991; Habermas J., De l'éthique de la discussion, Paris, Cerf, 1992; Jauss H.R., Pour une esthétique de la réception, Paris, Gallimard,1990; Leiris M., L'Afrique fantôme, Paris, Gallimard, 1934; Lejeune M., Le moi des demoiselles, Paris, Seuil,1993; Meirieu Ph., Ecriture et recherche, Cahiers pédagogiques, Ecrire, un enjeu pour les enseignants, 1993; Marrou H.I., De la connaissance historique, Paris, Seuil, Point,1975 (publication originale en 1954); Mauss M., Sociologie et anthropologie, Paris, PUF, 1968; Misrahi R., Les actes de la joie. Fonder, aimer, agir, Paris, PUF, 1987; Ricoeur P., Temps et récit 3. Le temps raconté, Paris, Seuil, Points, 1985; Veyne P., Comment on écrit l'histoire, Paris, Seuil, Point, 1979 (publication originale en 1971).
[6] 1990;1994.
[7] Les suppléments d'Education permanente concernent trois publics : EDF/GDF, AFPA, Education nationale.
[8] J'ai consulté les suppléments Education nationale du ndeg.102 (1990) au ndeg.124 (1995-3)
[9]Je n'ai pas eu le temps de travailler les ndeg. suivants : 103,104,107,109-110,112,118.
[10] G. Jobert, Education permanente, ndeg.102, avril 1990.
[11] Ecrire. Un enjeu pour les enseignants, CRAP, Paris, 1993; Ecrire et faire écrire, Ecole Normale Supérieure de Fontenay-St Cloud, 1994;
[12] Nonnon E., Les interactions lecture-écriture dans l'expérience d'une écriture professionnelle : le mémoire des professeurs débutants, in Pratiques, ndeg. 86, 1995; Dominicé P., L'histoire de vie comme processus de formation, Paris, L'Harmattan, 1990.
13 Benjamin W., op.cit., pp. 205, 206.
[14] Morin E., Mes démons, Paris, Stock, 1994.
[15] Todorov S., Correspondances, Lettres internationales, ndeg.12, 1987.
[16] Ricoeur P., Temps et récit. L'intrigue et le récit historique, t.1, Paris, Point, 1991, p.127.
[17] Todorov S., Correspondances, Lettres internationales, ndeg.12, 1987, p.47.
[18] Mathieu R., Le mémoire professionel en IUFM, Supplément Education permanente (SED, ), ndeg.120, 1994, p.84
[19] Ricoeur P., Temps et récit. Le temps raconté, Paris, Points, Seuil, 1991, p.419.
[20] Latour B., Sur la pratique des théoriciens, Savoirs théoriques et savoir d'action (sous la direction de Barbier J.M.), PUF, 1996.
[21] Voir Supplément Les formateurs face aux publics réputés "difficiles", SED, ndeg.111, 1992.(par exemple, Michel D'Espinay, D'un usage de l'écriture en atelier pédagogique personnalisé; Michel Oswald et all, Le Centre d'accueil permanent de l'Education nationale : de l'expérimentation au transfert) , et également les articles de Anne Torunckyk, Comment les adultes apprennent à lire; Jean-François Batisse, "On fait quoi, maître...? ", SED, ndeg.117, 1993 ; Claudine Girod, Bernard Henriet, Dire ce que l'on fait au travail ou les vertus de l'explicitation, SED, ndeg.123, 1995-2.
[22]SED, ndeg.111, 1992, pp.38, 39, 40.
[23] Voir Cifali M., Une difficulté en question, Actes Comportamenti difficili a scuola Servizio di sostegno della scoula dell'infanzia e elementare, Lugano, 1996.
[24] de Certeau M., Histoire et psychanalyse, entre science et fiction, Paris, Folio Essais, 1987, p.74.
[25] Par exemple Christiane Boucharlat, Pour les enseignants en difficulté, une formation centrée sur la personne, SED, ndeg.111, 1992; Claude Hansen, Du portefeuille de compétences à la validation des acquis, SED, ndeg.123, 1995-2, Anne Torunckyk, Comment les adultes apprennent à lire, ndeg.117, 1993; Marie-José Giri, Camille de Lagausie, Participer, en tiers, au travail d'une équipe éducative, SED, ndeg. 116, 1993; Jacqueline Magnier, Un référentiel, un métier, des jeunes à accueillir...Comment devenir tuteur ? ndeg.122, 1995-1; Geneviève Sion, Pascaline Blanchard, Borowieck Maryan, Produire des outils de formation : un moyen de développement professionnel pour les formateurs, SED, ndeg.108, 1991; Daniel Gestin, Lire au lycée ?, ndeg.117, 1993.
[26] De Certeau M., Histoire et psychanalyse. Entre science et fiction, op.cit., pp.132, 134.
[27] "Marcher devant, marcher derrière ou marcher côte à côte", SED, ndeg.116, 1993, p.6.
[28] Bloch H., Création littéraire et connaissance, Paris, Gallimard, 1983, p.239.
[29] Levi P., La clé à molette, Ed. 10/18, 1995.
[30] Dejours C., Intelligence pratique et sagesse pratique : deux dimensions méconnues du travail réel, Education permanente Comprendre le travail, ndeg.116, 1993; Yves Clot, Le "garçon du bloc" : étude d'ethnopsychologie du travail ?, ibid.; Jobert G., Les formateurs et le travail, chronique d'une relation malheureuse", ibid.; Ladrière P., La sagesse pratique, Raisons pratiques, ndeg.1, 1990.
[31] Ricoeur P., Soi-même comme un autre, Paris, Seuil, 1990.
[32] Jeudy H-P., Eloge de l'arbitraire, Paris,PUF, 1993.
[33] Par exemple Josette Lacotte, Robert Veysset, Le conseil-formation en entreprise : analyse d'une pratique, SEP. ndeg.105, 1990; Nicole Belmonte et All, Au carrefour du CAFOC et de la MAFPEN : le conseil, ibid.; Claudine Girod, Bernard Henriet, Dire ce que l'on fait au travail ou les vertus de l'explicitation, SED, ndeg.123, 1995-2.
[34] Ricoeur P., Soi-même comme un autre, op.cit., p.219.
[35] Oury J., in Pochet C., Oury F., L'année dernière j'étais mort, Signé Miloud; Vigneux, Ed.Matrice, 1986, p.173;Education permanente : Questionnement éthique, ndeg.121, 1994.
[36] Cité par Imbert F. et GRPI, L'inconscient dans la classe, Paris, ESF, 1996, p. à vérifier.
[37] Badiou A., Essai sur la conscience du mal, Paris, Hatier, 1993; Jeudy P.H., Eloge de l'arbitraire, op.cit. et L'ironie de la communication, Bruxelles, La lettre volée, 1996.
[38] Voir Vermersch P., L'entretien d'explicitation en formation initiale et en formation continue, Paris, ESF, 1993; Le Boterf G., De la compétence, Paris, Ed. d'organisation, 1995; Savoirs théoriques et savoir d'action (sous la direction de Barbier J.M.), PUF, 1996.
[39] André A., Oser écrire : le désir et la peur, Ecrire et faire écrire, Ecole Normale Supérieure de Fontenay-St Cloud, 1994; André A., Babel heureuse, Paris, Syros, 1989.
[40] Voir en particulier le SEP, ndeg.120, 1994 sur Ecriture, travail, formation. Avec, entre autres, les articles de Claude Hazebrouck, Questions à la volée autour d'une expérience envolée; Robert Lhomme, Ecrire ses pratiques en atelier, une expérience de la démocratie; Claire Chateaugiron, Jacques Faure, Là on ne s'amuse plus ! Plaisir d'écrire et analyse des pratiques; Odette et Michel Neumayer, Ecrire pour mettre en patrimoine; Pierre Galinier, L'écriture, processus de professionnalisation des formateurs; Manon Trincas, Comment aider à la réalisation d'un mémoire professionnel; Danièle Suc, La transmission et le secret : à propos des mémoires professionnels; Michel Dumas, L'écriture au service d'équilibristes de la formation; Roland Mathieu, Le mémoire professionnel en IUFM; Joële Keraven, "Mais comment dire, alors, pour que ça soit clair ?" Ecrire à l'école.
[41] Galinier P., op.cit., pp.38-39.
[42] Lhomme R., op.cit., pp.17,18.
[43] Hazebrouck C., op.cit..
[44] Geneviève Sion, Pascaline Blanchard, Borowieck Maryan, Produire des outils de formation : un moyen de développement professionnel pour les formateurs, SED, ndeg.108, 1991, p.59.
[45] Legrand A., Ecrire, pourquoi quand on est formateur ?, SEP, ndeg.102, 1990, p.6.
[46] Revuz C., "Moi, écrire? ... Je..." ou comment aider les formateurs à écrire sur leurs pratiques, Education permanente, ndeg.102, 1990; Dumont M., Revuz C., A qui profite l'écrit ?; Revuz C., Ecoute la parole sur le travail ou écrire sur le travailler ? Les impasses du bilan de compétences; Dumont M., L'aide à l'écriture, un processus aléatoire, Education permanente, ndeg.120, 1994.
[47] Galinier P., op.cit., p. 39.
[48] op.cit., p.26.
[49] Adam J.M., Le récit, Que sais-je, 1994, p.17.
[50] op.cit., p.7.
[51] Sur l'écriture et le travail sur l'écriture, voir les dispositifs originaux utilisés dans le cadre des ateliers d'écriture de l'Aleph, 7, rue St Jacques, 75005 Paris. Voir également les écrits d'Alain André déjà cités.
[52] Mathieu R., op.cit., p. 92.
[53] Chateaugiron C. et Faure J., op.cit., p.24.
[54] "Le `retour' de ces pratiques dans la narration (...) se rattache à un phénomène plus large, et historiquement moins déterminé, qu'on pourrait désigner comme une esthétisation du savoir impliqué par le savoir-faire", de Certeau M., L'invention du quotidien. 1. Arts de faire, Folio essais, Paris, 1990, p.110.
[55] Ferry J.M., Les puissances de l'expérience, t.1, Paris, Cerf, 1991, pp.181, 183, 185,
[56] Ibid., p.186.
[57] Galinier P., op.cit., p. 37, 38.
[58] Lhomme R., op.cit., p.16; Mathieu R., op.cit., p.85.
[59] D'Espignay M., D'un usage de l'écriture en atelier pédagogique personnalisé, SEP, ndeg.111, 1992.
[60] Hazebrouck C., op.cit., p.10.
[61] Cifali M., Transmission de l'expérience, entre parole et écriture, op.cit.; Démarche clinique, formation et écriture, in Paquay L., Altet M., Charlier E., Perrenoud Ph (éd), Former des enseignants professionnels. Quelles stratégies ? Quelles compétences ?, Bruxelles, de Broeck, 1996.
[62] Par exemple Michel Oswald et all, le centre d'accueil permanent de l'Education nationale : de l'expérimentation au transfert, ESP, ndeg.111, 1992.
[63] Voir aussi Aumond-Berlencourt C., Innovez ! de l'injonction à l'accompagnement organisé, ESP, ndeg.113, 1992. Et également Aubert J., Lemasse M., Changement, contrainte, innovation et formation. Le cas des professeurs d'éducation physique, p.22 : "Les pratiques de formation mises en place ces dernières années tentaient de faire appel à l'expérience personnelle des enseignants ou équipes, mais, faute de cadre de lecture commun, les enseignants en formation se limitaient à restituer leur vécu ou, plus fréquemment encore, à émettre des jugements de valeur sur les pratiques. Présenter à ses pairs sa propre pratique, fût-elle innovante, ne suffit pas pour entraîner des changements de pratique professionnelle; seule `l'analyse permet à des personnes ayant des idéologies différentes de travailler ensemble' (Barbier J.M., 1987) Si les communications restent à un stade descriptif, voire anecdotique, l'expérience est difficilement transmissible car elle n'est pas théorisée."
[64] Jeudy P.H., Eloge de l'arbitraire, op.cit. et L'ironie de la communication, op.cit.
[65] Voir par exemple Robert Lhomme, Ecrire ses pratiques en atelier, une expérience de la démocratie; Claire Chateaugiron, Jacques Faure, Là on ne s'amuse plus ! Plaisir d'écrire et anaylse des pratiques, op.cit.
[66] Hazebrouck C., op.cit., p.12.
[67] Trincas M, op.cit., p.60; Suc D., op.cit., p.73.
[68] op.cit.
[69] Ricoeur P., Temps et récit. le temps raconté, op.cit., p.309.
[70] Blanchot M., L'espace littéraire, NRF, Coll. Idées, p.267.
[71] Ricoeur P., Temps et récit. Le temps raconté, op.cit., p.287.
[72] Blanchot M., L'espace littéraire, op.cit., p.272.
[73] Delcambre P., Ecrire sur sa pratique en milieu de travail: à la recherche d'un espace de discussion, Education permanente, ndeg.120, 1994, pp.89,90.
[74] Dejours C., Travail, usure mentale : essai de psychopathologiie du travail, Paris, Le Centurion, 1980.
[75]Benjamin W, op.cit., p.218.
[76]Neumayer O. et M, Ecrire pour mettre en patrimoine, op.cit., pp.31,32.
[77] Suc D., La transmission et le secret : à propos des mémoires professionnels, op.cit., p.69.