[1] Conférence ...

[2] Chalamov V, Les récits de Kolyma, t.1,La nuit; t.2 Quai de l'enfer, Paris, Poche, 1990.

[3] Badiou A., L'Ethique. Essai sur la conscience du mal, Paris, Hatier, 1994.

[4] Barthes R., Fragments d'un discours amoureux, Paris, Seuil, 1977, p.266.

[5] Lacan J., L'angoisse, Séminaire 1962-1963, non publié.

[6] Barthes R., op.cit., p.265.

[7] Ferenczi, Confusion de langue entre les adultes et l'enfant. le langage de la tendresse et de la passion, Psychanalyse, vol 4, Paris, Payot, 1993, p.131-132.

[8] Il s'agirait de faire la différence entre violence et agressivité, pour ne pas les confondre. L'une est destruction consciente, l'autre réaction nécessaire de vie. Dans ce texte, j'utilise violence dans son acceptation courante, comme on dit "violence des sentiments". Sur ce sujet voir Cifali M., Le lien éducatif : contre-jour psychanalytique, Paris, PUF, à paraître juin 1994.

[9] Je parle ici de geste. Probablement vaudrait-il mieux parler de signes, car un geste peut être tour à tour regard, tonalité d'une voix, action...

[10] Canetti E., Jeux de regard. Histoire d'une vie, Poche, 1990, p.286.

[11] Ferenczi S., Transfert et introjection, Psychanalyse, vol. 1 , Paris, Payot, 1990.

[12] Cifali M., op.cit.

[13] Salomé J., Apprivoiser la tendresse, Genève, Jouvence, 1991.

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