Mémoire associative et mémoire spatiale. Nous avons développé des paradigmes d’IRMf permettant de mesurer l’activité sous-tendant la mémoire associative et spatiale chez les sujets avec trouble cognitif léger (MCI) dans l’idée de mieux appréhender leur risque de développer une maladie d’Alzheimer (MA). Après des premiers résultats montrant une forte diminution du réseau, nous travaillons sur des algorythmes de prédiction de conversion (MCI-MA) à partir de l’IRM et de la neuropsychologie.

Neuropsychologie et cognition spatiale. La cognition spatiale est également étudiée  chez des patients après AVC, pour conforter nos hypothèses sur le rôle spécifique de certaines régions corticales dans cette fonction complexe.

Langage et maladies neurodégénératives. L’étude du langage sur le plan neuropsychologique, acoustique, électrophysiologique et de l’IRM permet de l’utiliser comme futur marqueur de maladies neurodégénératives. Nous poursuivons des études pilotes chez des patients avec troubles de la parole isolés et progressifs. 

Marche et cognition. La double tâche (cognition et marche) montre que la seconde dépend fortement la première, via l’implication des fonctions exécutives. Nous poursuivons ces études dans plusieurs affections neurologiques en étroite collaboration avec le laboratoire de cinésiologie des HUG.

Neurologie du comportement et études de cas. La neuropsychologie expérimentale et l’IRMf permettent de mieux identifier les mécanismes et les  réseaux neuronaux sous-jacents de phénomènes encore mal élucidés.