Ce document a besoin d'être simplifié (j'y ai simplement réuni tous les bouts de textes qui sont devenus superflus dans la documentation suite aux changements introduits par la version 7.

La version 7 d'Atlas.ti introduit la notion de pour stocker les documents primaires qui permettent à la fois de séparer le fichier de l' et les doucments primaires, tout en améliorant la sécurité des documents primaires, surtout quand il s'agit de les modifier en cours d'analyse.

Dans les version antérieures d'Atlas.ti, les étaient sont simplement assignés ("assigned") à la HU et se trouvaient toujours dans un ou plusieurs fichiers séparés du fichier .HPR6) à un endroit physique décidé par l'utilisateur qui pouvait les utiliser en dehors d'Atlas et même les modifier (ce qui pouvait rendre le document primaire inutilisable depuis Atlas et faire perdre des heures de travail). Hormis les documents de type texte, RTF et PDF, les autres types de documents, par exemple de fichiers Word ou des pages HTML étaient convertis par un filtre chaque fois que vous les utilisiez. Quand vous les placez dans la bibliothèque ils seront convertis une fois en RTF et deviennent modifiables par l'utilisateur en toute sécurité

Pour des raisons de compatibilité vous pouvez continuer de travailler comme par le passé.

• Quand vous ouvrez une d'une version Atlas antérieure à la version 7, le logiciel vous propose soit d'importer les documents primaires assignés à ce projet dans la d'Atlas ou de conserver les associations avec les fichiers externes comme par le passé (Do not manage this Hermeneutic unit now).
• Vous pouvez toujours associer des documents externes à une :

Conseil pour vos documents primaires: Pour un projet d'une certaine envergure, il est souvent préférable de convertir tous vos documents en RTF ou en PDF. Les deux formats sont des formats internes d'Atlas et ne dépendent pas de la présence de filtres, donc ne dépend pas de facteurs extérieurs (version de Windows, versions de Word, programmes installés...). Il faut cependant nuancer, dans le sens qu'un document relativement court (en Word par exemple) qui ne contient que du texte (pas de graphiques, tableaux compliquées etc) ne devrait pas poser de problèmes.

D'un point de vue pratique tout cela signifie que vous devez trouver votre propre stratégie qui dépendra à la fois de vos textes et de vos besoins d'analyse, ainsi que des outils informatiques à disposition et votre habileté à les utiliser.

Voici quelques considérations:

• Est-il indispensable d'éditer fortement les documents en cours d'analyse (par exemple parce que vous voulez à la fois faire des corrections et éventuellement des marquages supplémentaires dans les textes primaires pour par exemple identifier des titres, des instructions à l'intervieweur etc en utilisant une couleur?
• Les documents originaux ne sont-ils plus touchés après le début de l'analyse?
• Les textes primaires individuels sont ils très longs et se trouvent dans des documents compliqués (graphiques etc)?

Pour bien comprendre le fonctionnement d'Atlas.ti il faut constamment avoir à l'esprit que

• Atlas.ti garde les documents primaires dans des fichiers séparés du fichier de l'HU et les opérations de codage, ajouts de mémos etc ne les modifient jamais. En clair, vos documents ne sont pas "importés" dans l'unité herméneutique, mais assignés ("Assigned") à une ou plusieurs unités herméneutiques (HU).
• Les textes primaires n'ont pas un format spécifique à Atlas.ti et restent accessibles à d'autres logiciels en lecture.
• De façon générale il convient de préparer les documents primaires (corriger, éditer) avant le début du travail avec Atlas et de ne plus y toucher dès le début du travail avec Atlas (ajouts de codes, mémos etc). Du moins en aucun cas avec un autre logiciel qu'Atlas; Atlas permet de modifier certains types de documents primaires avec son propre éditeur de textes. Mais - si vous souhaitez le faire - assurez-vous,de bien comprendre comment Atlas.ti gère les textes primaires et les modifications y apportées. Sinon si vous le comprenez pas, il est plus prudent de ne plus toucher aux textes primaires dès que vous avez commencé le travail de codage etc.