Komlan Sangbana
Komlan Sangbana est Chercheur associé à la Plateforme pour le droit international de l’eau douce. Depuis janvier 2017, il est Conseiller juridique auprès du Secrétariat de la Convention de la CEE-ONU pour la protection et l'utilisation des cours d'eau transfrontières et des lacs internationaux.
De 2010 à 2015, M. Sangbana fut Assistant d'enseignement et de recherche auprès du Département de droit international et organisation internationale de la Faculté de droit de l'Université de Genève.
En 2016, il fut Chercheur Post-doc à l’Institut des sciences de l’environnement (Université de Genève). Il a été également Visiting Scholar à la Faculté de droit de l'Université d’Édimbourg (Royaume Uni).
M. Sangbana est intervenu aussi à plusieurs reprises en tant qu’expert juridique auprès d'institutions internationales telles que Green Cross international, Global Water Partnership et Waterlex sur des projets relatifs à la gouvernance des bassins transfrontières en Afrique. Il intervient régulièrement dans des conférences et programmes de formation en Europe et en Afrique.
M. Sangbana est auteur des ouvrages La protection des eaux douces transfrontières contre la pollution : dimensions normatives et institutionnelles (Schulthess Verlag, 2017) et African Basin Management Organizations : Contribution to Pollution Prevention of Transboundary Water Resources (Brill Research Perspectives in International Water Law, 2020). Il est aussi co-éditeur des ouvrages Public Participation and Water Resources Management: Where Do We Stand in International Law? (UNESCO, 2015) et The United Nations Convention on the Law of the Non-Navigational Uses of International Watercourses. A Commentary (Oxford University Press, 2017). Ses publications incluent également des articles sur le droit international de l'environnement, droit international de l’eau et la gouvernance internationale l’environnement.
Membre de la Société africaine pour le droit international, M. Sangbana est titulaire d'un Diplôme d'étude approfondie en droit public de l'Université de Lomé (Togo) et d'un Doctorat en droit international obtenu à l'Université de Genève (Suisse).
Ses centres d’intérêts sont la protection juridique des ressources en eau douce et la gouvernance environnementale.