Les demandes de secours peuvent être adressées directement à l’Hospice général, au maire des communes ou encore au Bureau central de bienfaisance. Parfois, c’est une tierce personne qui attire l’attention des autorités sur la situation misérable dans laquelle se trouvent certaines personnes ou familles.
Le Département de justice et police possède lui aussi un budget pour venir en aide aux nécessiteux. Dans tous les cas, chaque demande fait l’objet d’une enquête et d’une collecte de renseignements qui déterminent si la personne est digne d’assistance et si sa demande est bien fondée.
Demande de secours adressée au Directeur de l’Hospice général.
[Archives d’État de Genève, Archives privées 405.2]
Frédéric-Auguste Cramer (ancien syndic de Genève et président de la Société genevoise d’utilité publique), Étude sur les causes du paupérisme dans le canton de Genève et sur les moyens d’y remédier. Ouvrage posthume publié par la Société genevoise d’utilité publique (1856).
Signalement d’une famille au Bureau central de bienfaisance.
[Archives d’État de Genève, Archives privées 405.2]
Frédéric-Auguste Cramer (ancien syndic de Genève et président de la Société genevoise d’utilité publique), Étude sur les causes du paupérisme dans le canton de Genève et sur les moyens d’y remédier. Ouvrage posthume publié par la Société genevoise d’utilité publique (1856).
Rapport d’enquête du Département de justice et police à la demande du Bureau central de bienfaisance.
[Archives d’État de Genève, Archives privées 405.2]
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