Stéphanie Jeanneret

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Stéphanie Jeanneret

Assistante

stephanie.jeanneretcuervo@unige.ch

D’origine Suisse-Colombienne, j’ai vécu aux Etats-Unis où j’ai obtenu mon bachelor de sciences en psychologie à l’Université du Texas à Austin. Je suis actuellement en deuxième année de master à l’Université de Genève. Sous la co-direction de la Prof. Evie Vergauwe et Dr. Lea Bartsch, de l’Université de Zurich, mon mémoire de recherche porte sur la mémoire de travail chez l’adulte, visant à éclaircir le rafraîchissement attentionnel à travers l’activité électrique du cerveau. En tant qu’assistante de recherche au labo, j’assiste avec plusieurs projets de recherche aussi concernant la mémoire de travail chez l’adulte : expliquer les stratégies cognitives telles que la répétition verbale grâce à l’intelligence artificielle (Dr. Kim Uittenhove), décoder la mémoire verbale à l’aide de l’activité électrique cérébrale (Prof. Vergauwe et Dr. Lea Bartsch), et mieux comprendre la vulnérabilité de la mémoire de travail (Dr. Naomi Langerock). Avec plusieurs membres de l’équipe, je participe également aux activités du Swiss Reproducibility Network Geneva Local Node, telles que le ReproducibiliTea Journal Club, une organisation ayant le but de promouvoir des pratiques de recherche ouvertes et reproductibles dans un cadre interdisciplinaire.

Twitter: @steph_jeanneret
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Projets en cours

Faisons le point sur le rafraîchissement (mémoire de master)

brain2.pngLe rafraîchissement est un mécanisme cognitif nous permettons de refocaliser notre attention interne sur l’information en mémoire de travail. Pourtant, un débat intense sur le rafraîchissement remet aujourd’hui en question ses propriétés ainsi que son existence même. Dans ce mémoire de recherche, nous visons donc à décoder le rafraîchissement attentionnel grâce à l’analyse multivariée des traces d’électroencéphalographie (EEG). En reliant l’activité cérébrale avec les représentations en mémoire de travail, notre objectif est d’éclaircir le mécanisme du rafraîchissement chez l’adulte, en mieux comprenant ses codes neuronaux.

(Co-directrices du master : Evie Vergauwe et Lea Bartsch, de l’Université de Zurich ; aussi en collaboration avec Nora Turoman and Prosper Fiave, membres de l’équipe)

 

Les conséquences à long terme de prioriser l’information en mémoire de travail

balance.jpgIl existe plusieurs façons de diriger notre attention afin de pouvoir nous concentrer sur les tâches pertinentes à un instant donné. En effet, la capacité dynamique de la mémoire de travail nous permet prioriser et de maintenir certaines informations plus que d’autres. L’effet de prioriser l’information est bien connu pour améliorer son rappel à court terme. Toutefois, les conséquences de cet effet dans la mémoire à long terme ne sont pas claires. Dans cette étude, nous avons testé si les informations priorisées par l’indice rétroactif ou par la récompense sont aussi mieux rappelées à long terme.

 

(En collaboration avec Evie Vergauwe et Lea Bartsch, de l’Université de Zurich)

Laboratoire Mémoire de travail, Cognition et Développement 
Université de Genève
Faculté de psychologie et Sciences de l'éducation
Bureau 5158
40 Boulevard Pont d'Arve
1205 Genève

   

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