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Empreinte Carbone GEDT

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Le GEDT se lance dans la réflexion sur son empreinte carbone et  finalise l’analyse pour l’année 2017 : les déplacements de ses membres équivalent 117 tonnes de Co2.

Adopté comme élément de la stratégie GEDT lors de l’assemblée générale tenue en septembre 2017, cette réflexion a servi à encourager tout d’abord la prise en compte de l’impact de nos activités. Déjà difficile de quantifier, nous avons dès le début souhaité éviter de mettre en étroite relation la productivité scientifique et le changement climatique. Une telle logique pourrait impliquer que tout déplacement devrait cesser, alors que la science ne connaît pas de frontières et les échanges de vive voix autour du monde sont essentiels. Tout au contraire, l’initiative a été pensée comme moyen de mise en perspective des activités menées par le GEDT et de comparaison avec d’autres institutions. Et pourquoi pas jouer le rôle de pionnier, d’abord au sein de l’ISE, et contribuer aux démarches de l’Université dans le domaine de la mobilité.

L’inventaire pour 2017 s’est construit sur la base d’un questionnaire remis à tous les collaborateurs du GEDT. L’analyse révèle les résultats suivants :

  • 53 personnes ont déclaré avoir effectué un ou plusieurs déplacements professionnels (dans le cadre de leurs fonctions au GEDT et hors trajets domicile – lieu de travail)
  • Les émissions équivalent 117 tonnes CO2 (avion : 111,81 ; train : 3,49 ; voiture : 1,85 ; minibus : 0,12 ; bâteau : 0,03)
  • 95 % des émissions est lié au transport aérien ; l’émission moyenne des 196 trajets en avion est de 0,60 tonnes

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Pour l’année 2017, cet impact sera compensé par une des solutions offertes par myclimate.org, avec une préférence de viser des projets locaux. Une étude plus fine des résultats servira à identifier des moyens de réduire l’impact tout en maintenant l’engagement du GEDT à la production et le partage de connaissances et de compétences scientifiques. Par exemple, existe-t-il des destinations facilement atteignables par train mais où on a l’habitude de se rendre en avion pour des raisons de temps, de moyens financiers ou parce que l’on en a pas connaissance ?

L’objectif est de régulariser la démarche : l’inventaire pour 2018 est déjà en cours.

21 mai 2018
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