Enseignement primaire

Jaune

 



À L’INTENTION DES ETUDIANT-E-S/STAGIAIRES ET DES FORMATEURS DE TERRAIN

La partie pratique de la formation en enseignement primaire repose sur une organisation complexe, qui doit veiller au respect des contraintes institutionnelles tout en intégrant les données évolutives relatives aux personnes impliquées – étudiant-es, formateurs/trices de terrain, formateurs/trices universitaires.

Les réponses aux problèmes qui se forment au cours des périodes de terrain relèvent à la fois des principes formels et explicites qui régissent le dispositif de formation et des principes pratiques et implicites accumulés au fil du temps et de leur adaptation aux situations. Cette page vous offre un inventaire raisonné et à jour des réponses aux questions qui nous sont adressées le plus souvent au cours des périodes de terrain. A consommer sans modération !

 

Jaune

 

QUESTIONS GENERALES

Pouvez-vous me donner une image d’ensemble du cursus de la FEP ?

Le cursus de quatre années (baccalauréat + certificat) est obligatoire pour les étudiant-es formé-es à Genève souhaitant postuler à un emploi dans les écoles primaires dépendant du Département de l’instruction publique (DIP) et directement de la Direction générale de l’enseignement obligatoire (DGEO).
Le cursus est valable pour les enseignant-es qui veulent s’orienter vers les cycles 1 et 2 de l’enseignement primaire et vise à former des enseignant-es généralistes, capables d’enseigner toutes les disciplines dans tous les degrés de la 1P à la 8P. D’abord, un baccalauréat en Sciences de l’éducation de trois années, qui se déroule en deux phases :
La première année (premier cycle) est celle d’un « tronc commun » pour tou-t-es les étudiant-es inscrit-es en sciences de l’éducation (abrégé BSSE). Ce premier cycle donne accès à deux orientations possibles : orientation Enseignement primaire (BSEP) et orientation Education et formation (BSEF). Les étudiant-es admis-es à la FEP à la fin du premier cycle, poursuivent en deuxième et troisième années (deuxième cycle) le baccalauréat en sciences de l’éducation, orientation Enseignement primaire (abrégé BSEP2 et BSEP3).
La première année (BSSE, premier cycle) est une introduction aux pratiques et aux sciences de l’éducation. Cette première année inclut d’emblée un module de formation en milieu de pratiques (« Observation et analyse des terrains éducatifs scolaires »). Par la suite (BSEP, deuxième cycle), environ 20 semaines – 45% du temps du BSEP – se déroulent sur le terrain scolaire, dans le cadre d’une alternance intégrant les cours à l’université et les pratiques dans les classes, avec des aménagements progressifs et variés de la responsabilité pour l’étudiant-e. Un stage en co-responsabilité de 2 semaines est également inclus en 1ère année du BSEP.
Ensuite, les étudiant-es souhaitant poursuivre leur formation d’enseignant-es primaires ont accès à un certificat complémentaire en enseignement pour le degré primaire (abrégé CCEP).
Au certificat, la formation se focalise sur la prise en responsabilité complète de classes dans le cadre de stages (deux compacts et un filé), à raison de quinze semaines, soit environ 35 % du temps de la formation, et en lien avec des séminaires d’analyse et de régulation des pratiques professionnelles et la tenue d’un dossier de développement professionnel. Durant cette année décisive de professionnalisation, la formation pratique et théorique est accentuée à travers des unités de formation d’approfondissements disciplinaires (didactiques et transversaux). Des unités de formation à la recherche jalonnent également cette année de certificat.
Le cursus est organisé par l’Université. Le diplôme de BSEP est délivré par la Section des sciences de l’éducation (SSED) et le diplôme de CCEP par l’Institut universitaire de formation pour l'enseignement (IUFE) au même titre que les différents diplômes post baccalauréat en formation pour l'enseignement.

Comment est-ce que je peux prendre contact avec votre bureau ?

Pour toute question ou pour nous signaler un changement dans votre situation (que vous soyez étudiant-e ou formateur/trice de terrain), vous pouvez nous joindre par email : terrainfep(at)unige.ch ou par téléphone : 022 379 82 39.

Lors de quels stages puis-je partir en camp avec mon formateur de terrain / puis-je accueillir un-e stagiaire si je pars en camp ?

Le dispositif de formation prévoit deux stages durant lesquels l'étudiant-e peut accompagner son/sa formateur/trice de terrain en camp :

  • Approches transversales 1 ;
  • Stage en responsabilité de 4 semaines.

JE SUIS ETUDIANT-E ET J'AI UNE QUESTION...

Mon formateur de terrain va devoir s’absenter 2 jours pendant mon stage ; puis-je le remplacer dans sa classe ?

Depuis l’année 2015-2016, les étudiants BSEP2, BSEP3 et CCEP peuvent remplacer leurs formateurs/trices de terrain et être rémunéré-es par le SEREP à trois conditions :

  • Le/la formateur/trice de terrain s’absente pour une raison valable (par exemple : maladie, formation continue individuelle / collective) ;
  • Le/la stagiaire est inscrit-e au SEREP ;
  • La durée totale de prise de responsabilité en l'absence du/de la formateur/trice de terrain ne dépasse pas le nombre de jours indiqué ci-dessous :
  • Stages de 2 semaines : maximum 1 jour
  • Stages de 3 semaines : maximum 2 jours
  • Stages de 4 semaines : maximum 3 jours
  • Stages de 5 semaines : maximum 4 jours

ATTENTION : la journée de co-formation fait partie du nombre maximum de jours indiqué ci-dessus ; cette journée fait partie intégrante du dispositif de formation : pendant cette journée l’étudiant-e prend la responsabilité de la classe « en échange de » la présence du/de la formateur/trice de terrain à l’université – cette prise de responsabilité ne peut pas être rémunérée.

Le/la stagiaire qui remplace son/sa formateur/trice de terrain dans les limites indiquées ci-dessus ne compense pas ces jours en présence de son/sa formateur/trice. Si le/la formateur/trice de terrain doit s’absenter pendant une durée plus longue que celle autorisée dans le dispositif, il/elle doit nécessairement informer le bureau d’organisation des stages à l’adresse terrainfep(at)unige.ch

Une fois que mon stage s’est terminé, quels documents sont à transmettre et à qui ?

Afin de valider vos semaines de formation sur le terrain scolaire, plusieurs documents sont à transmettre dans les meilleurs délais au secrétariat de la FEP :

  • Attestations de présence : une attestation de présence est requise pour chacun de vos stages ; votre formateur/trice de terrain reçoit le lien vers cette attestation en ligne, elle/il la remplit dans les meilleurs délais, dès la fin du stage, et vous en recevez une copie par e-mail ;
  • Evaluations : l’évaluation de vos stages d'observation et stages en responsabilité partagée selon les rubriques regroupées dans les volets II et III est également remplie via un formulaire en ligne par votre formateur/trice de terrain. Vous en recevez automatiquement une copie par e-mail ;
  • Rapports de stage : pour les stages en responsabilité, le rapport de stage est complété par le/la formateur/trice de terrain, puis par le/a formateur/trice universitaire via des formulaires en ligne ; Une copie de ces deux documents vous parvient par e-mail.

ATTENTION : il est de la responsabilité des étudiant-es de s'assurer de la réception de ces documents et d'en constituer un dossier personnel.

Mon attribution de stage ne me convient pas, est-ce que je peux la changer ?

Non, aucun changement d’attribution ne peut être envisagé. Les attributions ne sont pas réalisées de manière aléatoire, la décision intègre plusieurs facteurs. Toutes les informations concernant votre situation personnelle sont collectées en début d’année au moyen d’un questionnaire en ligne. Tout changement dans votre situation qui pourrait affecter l’organisation de vos stages (avez-vous déménagé ? êtes-vous devenu-e parent ? envisagez-vous de prendre un congé d’études ?) doit être communiquée sans tarder à l’adresse terrainfep(at)unige.ch.

Pendant le semestre de printemps de mon année de CCEP, je pars en mobilité au Québéc. Comment pourrai-je valider les crédits du SARP auquel j’ai participé pendant le semestre d’automne ?

Le travail que doivent fournir les étudiant-es mobilité consiste en la mise par écrit d'un dossier relatant leur parcours de développement professionnel durant leur dernière année de formation. Elles/ils s'inspirent des travaux réalisés en SARP durant le premier semestre puis complètent leur réflexion à la lumière de leur expérience au Québec, ou ailleurs. Elles/ils reçoivent des consignes par e-mail de la part de leurs responsables de SARP en fin de semestre d'automne.

Etudiant-e CCEP, je suis actuellement en stage, j’ai eu un accident et je dois me déplacer à l’aide de béquilles. Est-ce que je peux continuer mon stage ?

Non. Tant que vous avez une mobilité réduite, vous ne pouvez pas continuer votre stage en responsabilité. Les règles qui s’appliquent à l’enseignant-e titulaire de classe s’appliquent également à vous. Votre mobilité est essentielle pour assumer pleinement la responsabilité de vos activités et pour assurer, au besoin, la sécurité des élèves. D’un commun accord avec votre formateur/trice de terrain et avec la coordination des stages, vous pourrez reprendre votre stage dès que vous aurez récupéré votre autonomie. Nous ferons tout notre possible pour que vous puissiez compléter votre stage avant la fin de l’année scolaire, afin que l’obtention de votre certificat ne soit pas mise en danger.

L’école où j’ai été attribué-e est située à la campagne alors que celle de mon/ma collègue qui habite le même quartier est à 5 minutes de chez lui/elle ! Pourquoi ?

Conformément aux exigences du dispositif de la FEP et aux réalités géographiques, sociales et culturelles du canton de Genève, votre parcours sur le terrain scolaire se déroule de manière équilibrée dans les deux divisions (élémentaire et moyenne), entre écoles de ville, écoles de campagne, écoles en REP. Compte tenu des nombreuses contraintes du système d’organisation, l’équité de traitement ne peut pas être assurée simultanément pour tou-t-es les étudiant-es. Toutefois, le bureau d’organisation des stages vise à assurer cette équité au fil des quatre ans d’études.

Quels sont les aspects prioritaires lors d’une attribution de stage ?

Toutes les attributions de stage sont réalisées individuellement, pour chaque étudiant-e, et de manière raisonnée. Pour chaque attribution, nous prenons en compte le parcours déjà effectué par l’étudiant-e, afin de lui permettre d’acquérir une expérience riche qui reflète la diversité des institutions scolaires du canton. Nous tenons donc compte des degrés, des écoles et des contextes dans lesquels se sont déroulés ses précédents stages. Un équilibre est visé entre les deux divisions et entre les contextes des écoles (ville, campagne, REP).

Chaque attribution tient également compte des données à jour sur la situation de l’étudiant-e, récoltées au début de l’année académique (et mises à jour au besoin en cours d’année). Les demandes particulières concernant les déplacements entre domicile et école ne peuvent être prises en considération que pour les étudiant-es ayant des enfants à charge.

Enfin, chaque attribution tient compte de la durée des parcours entre domicile et école, avec un trajet théorique maximum de 60 minutes en transports publics.

Je suis étudiant-e en mobilité, ai-je le droit de remplacer mon/ma formateur/trice de terrain pendant son absence ?

Non. Malheureusement, les permis de séjour de courte durée délivrés aux étudiant-es en mobilité ne permettent pas d’accéder au marché de travail et de pourvoir assurer un remplacement dans l’enseignement primaire.

Etudiant-e en CCEP, l’horaire de la classe en division moyenne où j'effectue mon stage comporte 32 périodes, et non pas 28 comme l'indique le cahier des charges de l'enseignant-e à 100%. Quel horaire devrais-je respecter ?

Depuis la rentrée 2014, le mercredi matin a été introduit à l'école pour répondre aux exigences fixées dans le plan d'études romand. Les stages en responsabilité au cycle moyen respectent cette nouvelle organisation, sans pour autant augmenter le nombre de périodes hebdomadaires de présence sur le terrain.
Un-e enseignant-e titulaire de classe effectue 28 périodes et s’il/elle est en classe le mercredi matin, il/elle est déchargé-e à un autre moment de la semaine. Comme le mentionne la brochure des stages en responsabilité, vous devez être en classe dans le respect de l’horaire de l’enseignant-e (total de 28 périodes) donc être en classe avec votre FT le mercredi matin et déchargé-e en même temps que lui/elle.
Si le total cumulé de vos duettistes dépasse 28 périodes (exception faite donc des périodes MS), vous devez, d’un commun accord avec vos FT, réduire votre présence jusqu’à 28 périodes, tout en veillant à respecter les objectifs du stage.

Etudiant-e en BSEP2, puis-je effectuer le premier stage en responsabilité (BSEP3) dans une école autre que publique ?

Non ; tous les stages de la formation en enseignement primaire se déroulent dans les écoles primaires publiques du canton.

J’habite dans la campagne genevoise, mais lors des stages je peux loger chez mes grands-parents en ville de Genève ; serait-il possible de prendre en considération l’adresse chez mes grands-parents, plus pratique pour mes déplacements ?

Oui, nous pouvons enregistrer votre deuxième adresse comme adresse à prendre en considération pour l’organisation des stages. L'important est que nous ayons une adresse valable en temps utile avant le début de la période de terrain concernée.

En raison d'un important événement familial, je devrai m'absenter de la Suisse quelques jours lors de mon prochain stage ainsi que pendant les cours à l’université. Serait-il possible que je compense ces absences ?

Tout en sachant que la vie ne s’arrête pas pendant vos études, nous attirons votre attention sur le fait que de telles absences risquent de mettre en danger la validation de votre module. Les règles à respecter varient en fonction des modules. Il est très important de décrire votre situation au/à la coordinateur/trice du module concerné, qui pourra vous donner toutes les précisions nécessaires.

Pendant le semestre de printemps de mon année de CCEP, je pars en mobilité au Québéc. Sachant que nous devons réaliser nos différents stages en responsabilité dans les deux divisions (élémentaire et moyenne), sera-t-il possible d’adapter mon attribution?

Les systèmes d’organisation des stages varient d’une université à l’autre en fonction des paramètres « locaux », qui vont du type d’organisation de l’enseignement public jusqu’aux dispositifs de formation et aux formes de collaboration entre l’université et la profession enseignante.
Comme vous le savez, à Genève votre parcours de formation est balisé par des choix de lieux de stage que nous effectuons en fonction des exigences du dispositif, en fonction de votre parcours antérieur et en fonction des disponibilités effectives des formateurs/trices de terrain dans les écoles. Les enseignant-es qui vous accueillent décident eux/elles-mêmes de s’engager (ils/elles n’ont aucune obligation en ce sens) ; nous travaillons donc avec des données évolutives, d’année en année mais aussi (et surtout) de semaine en semaine.
Ce type de fonctionnement fait, entre autres, que vos attributions de stage ne peuvent vous être confirmées que 2 à 3 semaines avant le début du stage concerné, sans qu'elles puissent être adaptées en fonction d'autres contraintes. Pour le stage filé, nous devrions être en mesure de vous communiquer votre attribution au cours de la première semaine d’octobre et nous espérons que cela permettra que votre stage en mobilité soit organisé au mieux.

JE SUIS FORMATRICE-FORMATEUR DE TERRAIN ET J'AI UNE QUESTION...

Je n’ai pas répondu à temps à l’appel d’offre annuel ; puis-je encore m’inscrire au réseau de formateurs/trices de terrain ?

Oui, le formulaire d’inscription reste disponible encore quelques semaines après la rentrée scolaire. Il faut savoir cependant que les collègues qui se sont inscrit-es en premier (au mois de juin) ont la priorité lors des attributions de stage.

Pour accéder au formulaire : https://www.unige.ch/outils/limesurveyfac/fapse/index.php/188864

J’ai inscrit plusieurs modules, mais j’ai reçu un-e seul-e stagiaire. Pourquoi ?

Vos inscriptions constituent pour nous un indice de votre intérêt et de votre disponibilité pour accueillir un-e étudiant-e pour tel ou tel stage. Pour chaque stage nous avons besoin d’environ 100 places de stage, soit entre 300 et 500 places de stage en parallèle. Comme pour chaque stage nous avons en général (des exceptions existent !) un peu plus de 100 formateurs/trices inscrit-es, il est évident que tou-t-es les formateurs/trices ne peuvent pas recevoir un-e stagiaire.

Par contre, lorsque vous inscrivez deux stages qui se déroulent en parallèle, nous faisons de notre mieux pour vous attribuer l’un des deux. Nous avons presque toujours plus d’inscriptions que de formateurs/trices nécessaires, ce qui constitue une situation idéale, étant donné que lors du recrutement effectif nous constatons un taux d’indisponibilité qui varie entre 10% (semestre d’automne) et 30% (semestre de printemps). Nous avons donc besoin d’un nombre suffisant de formateurs/trices pour pouvoir fonctionner de manière efficiente. Nous sélectionnons les écoles et les formateurs/trices en fonction des parcours des étudiant-es (degrés, écoles, ville/campagne) et des données pratiques, relatives à la situation des étudiant-es et à leurs moyens de transport (un trajet théorique maximum de 60 min. en TPG).

Je n’ai jamais accueilli un-e stagiaire. Comment devenir formateur/trice de terrain ?

Les inscriptions au réseau de formateurs/trices de terrain de la FEP se font exclusivement en ligne suite à l’appel d’offre lancé au début du mois de juin pour l’année scolaire/académique qui suit à l’adresse suivante. Chaque enseignant-e du canton reçoit le lien vers le formulaire d'inscription via le bulletin des manifestations envoyé par e-mail par la DGEO. Le formulaire reste accessible quelques semaines après la rentrée scolaire.

Pour accéder au formulaire : https://www.unige.ch/outils/limesurveyfac/fapse/index.php/188864

Pour pouvoir participer au réseau, vous devez être nommé-e ou stabilisé-e en tant que titulaire de classe. Si vous travaillez en duo, votre duettiste doit également être nommé-e ou stabilisé-e. La formation prépare les étudiant-es à assumer les responsabilités qui reviennent au/à la titulaire de classe. Si vous êtes chargé-e du soutien pédagogique (ECSP) ou d’une classe d’accueil (CLACC), vous pouvez accueillir un-e étudiant-e uniquement pour le stage du module Approches transversales 2.

La complétion du formulaire en ligne prend 10 à 15 minutes. Une fois le formulaire complété et envoyé, vous recevrez dans les minutes qui suivent un message automatique qui vous confirme que nous avons bien reçu les données relatives à votre inscription (nom, prénom, école, e-mail, téléphones, préférences, etc.). Vous devriez conserver ce message comme référence.

Pour être formellement acceptée, votre demande d’inscription sera transmise à la DGEO pour recevoir un avis de la Direction de votre établissement. C’est à la rentrée scolaire que nous serons en mesure de vous envoyer par e-mail une confirmation officielle de votre participation au réseau, avec plus de précisions concernant l’organisation des stages pour l’année en cours.

Par la suite, les équipes universitaires de chaque module et de chaque stage en responsabilité organisent pendant leurs périodes de terrain une journée de coformation à l’université, visant à travailler sur les différentes activités du/de la formateur/trice de terrain et notamment sur les contenus, attitudes et postures d’accompagnement spécifiques à chaque domaine de la formation.

Etant donné que la formation des formateurs/trices de terrain est désormais requise par la CDIP pour toute formation initiale des enseignant-es, la participation aux coformations constituera dans le futur proche un probable levier de reconnaissance formelle du statut de formateur/trice de terrain. La participation des formateurs/trices de terrain aux « cofos » est donc vivement souhaitée et encouragée.

Combien de stagiaires est-ce que je peux prendre dans l’année ?

Sur l’année, le dispositif prévoit qu’un-e formateur/trice de terrain puisse effectuer un minimum de 2 semaines et un maximum de 10 semaines d’encadrement, réparties entre un ou plusieurs modules. Cela représente entre 1 et 5 stages maximum. Dans les faits, très peu de formateurs/trices de terrain participent à 5 stages dans l’année, la grande majorité participe à un nombre de stages situé entre un et trois.