Saintes, reines, sorcières et magiciennes : figures féminines dans la littérature arménienne ancienne et médiévale
Par Valentina Calzolari Bouvier
Vendredi, 14h15-16h, Uni-Philosophes, salle 204, entrée libre
Séances périodiques, à partir du 30 septembre
30 septembre | La reine magicienne Sémiramis chez l’historien Moïse de Khorène, entre réminiscences de la mythologie mésopotamienne (mythe d’Ishtar) et possibles réminiscences grecques (mythe platonicien d’Er). |
14 octobre | La déesse Anahit, la « grande dame » du royaume d’Arménie, dans le contexte des interactions religieuses entre l’Iran et l’Arménie antique. |
28 octobre | Thècle et Sandoukht, comme modèles des saintes apôtres dans la littérature apocryphe, et la question du rôle des femmes dans l’histoire du christianisme des premiers siècles (linguistic turn et gender history ։ au cœur d’un débat actuel). |
4 novembre | Parandzem, la reine impie et criminelle, et ses liens avec les devs (démons de la mythologie arménienne) selon l’historiographie arménienne du Ve siècle. |
25 novembre | Eve, la femme pécheresse, et son antitype Marie, dans la littérature apocryphe et dans l’iconographie arméniennes médiévales. |
9 décembre | Sainte Rhipsimé, la sainte vierge, dont le martyre est considéré par l’historiographie arménienne ancienne comme le sacrifice nécessaire pour la rédemption de l'Arménie. |
13 sept. 2016