Gestion des conflits et respect de l’intégrité
L’Université de Genève proscrit toute discrimination fondée notamment sur le sexe, les origines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, les convictions religieuses, les opinions politiques, l’appartenance à une minorité nationale, un handicap, l’âge, l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, aussi bien dans l’accomplissement des tâches d’enseignement et de recherche que dans les relations au sein même de la communauté académique. Une prévenance et une protection particulières sont accordées aux personnes en situation de vulnérabilité.
Dans le cadre de la mise en application de la Charte d'éthique et de déontologie de l’Université de Genève propose différents mécanismes accessibles à tout membre de la communauté facultaire – collaboratrice ou collaborateur, étudiante ou étudiant – face à des difficultés d’ordre interpersonnel dans le cadre de son travail, ou faisant face à des atteintes à son intégrité personnelle, professionnelle ou scientifique.
Harcèlement, discrimination, conflit ou violence
Trouver de l'aide: https://www.unige.ch/help/
Médiation pour la gestion des conflits
Un groupe externe et indépendant est mis à disposition par l’Université de Genève dans le cadre de la politique de gestion des conflits: https://www.unige.ch/dirh/mediation
Respect de l’intégrité scientifique – OMBUDSWOMAN de la Faculté de médecine
En conformité avec le Règlement d’organisation de la Faculté et en plus des directives de l’Université, le doyen ou la doyenne, après consultation du bureau décanal, désigne un ombudsman ou une ombudswoman, professeur-e ordinaire ou honoraire à la Faculté de médecine. Son rôle est de conseiller le doyen ou la doyenne, vers qui toute personne pourra se tourner avant de déposer une plainte formelle auprès du Rectorat en cas de suspicion de fraude de tout ordre (scientifique, financière ou autre) ou de plagiat. L’ombudsman/ombusdwoman, après un examen sommaire des faits, sans effectuer d’actes d’instruction ni recevoir la personne mise en cause, dénonce les faits au Rectorat s’il/elle estime qu’il existe des possibilités que les soupçons soient fondés. L’ombudsman ou l'ombudswoman est désigné-e pour une période de 4 ans renouvelable. Il est toujours possible de saisir directement le Rectorat.
La Professeure (hon) Antoinette PECHÈRE est l'actuelle Ombudswoman de la Faculté de médecine.