Aujourd’hui encore, bien des gens croient que le masculin l’emporte d’emblée sur le féminin dans la langue française et que c’est une fatalité. Or une professeuse (c’est le bon mot) martèle urbi et orbi, à coup de petits livres lettrés et lisibles, que le masculin n’a pas toujours dominé, que nos ancêtres s’y prenaient autrement. Dans son dernier ouvrage, En finir avec l’homme. Chronique d’une imposture (2021), elle revient sur cet abus historique de langage qui a consisté à étendre l’usage du terme «homme» à la dimension de l’humanité.
Dans le cadre du pré-festival Histoire et Cité
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