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Questions fréquentes

Les données statistiques relatives au corps étudiant et au personnel de l'UNIGE renseignent sur la représentation de sous-groupes au sein de notre institution selon différents axes. Ces données sont utilisées à plusieurs fins, notamment pour soutenir la prise de décision au niveau de la gouvernance de l'institution ou pour être capable de mesurer l'atteinte des objectifs fixés par le Plan stratégique de l'UNIGE.

Nos informations statistiques sont toujours transmises de manière à garantir l'anonymat des personnes concernées.

Un large public a accès aux statistiques consolidées : communauté universitaire, instances fédérales et cantonales, médias, étudiant-es en provenance d'autres institutions, etc.

Le Bureau de l'information statistique est là pour répondre aux questions concernant les effectifs du corps étudiant, des diplômes ou du personnel de l'UNIGE. Les données privées de l'ensemble des membres de la communauté universitaire sont protégées par la Loi (LIPAD et RIPAD). Par exemple, nous pourrons communiquer le nombre d'étudiant-es inscrit-es pour une certaine formation, mais pas leurs noms.

Les données proviennent de sources différentes et ont différents objectifs. Ainsi, les données utilisées par le Bureau de l'information statistique sont des données administratives qui proviennent du dossier d'immatriculation des étudiant-es (âge, domicile à l'obtention du certificat d'accès, Faculté, formation d'inscription, etc...).

Les données de l'Observatoire de la vie étudiante sont récoltées via des enquêtes sur des échantillons d'étudiant-es. Leur but est d'observer la vie sociale et académique des étudiant-es durant leur parcours universitaire. L'OVE peut répondre à des questions telles que « Quelle est la qualité de vie de l'étudiant-e », « Quel impact a la réforme de Bologne sur la qualité des études ».

Les données statistiques publiées par notre service correspondent à des extractions des bases de données de l'UNIGE (corps étudiant, diplômes, personnel, ECTS) qui sont effectuées dans le cadre des livraisons de données que nous transmettons à l'OFS. Ces extractions ont lieu une à deux fois par an et servent de base pour toutes les statistiques faites au cours d'une même année. Les données de toutes les entités de l'Université sont récoltées exactement au même moment. 

  • Les données statistiques relatives au corps étudiant correspondent à une photographie de la base de données des étudiant-es prise au mois de novembre de chaque année, une fois les exmatriculations et les régularisations de cursus terminées.
  • Les données des diplômes délivrés sur une année civile sont extraites en février de chaque année et regroupent les sessions d'examens de janvier/février, mai/juin, août/septembre et décembre de l'année civile écoulée.
  • Les données du personnel sont extraites le 31 décembre de chaque année et regroupent la totalité des contrats rémunérés qui ont été actifs à un moment de l'année civile. Ce sont donc toutes les personnes qui ont eu un contrat rémunéré entre le 1er janvier et le 31 décembre de l’année considérée qui doivent être prises en compte dans la statistique, et ce proportionnellement au nombre de mois travaillés durant l’année.

Une fois l'extraction effectuée, il peut s'écouler quelques semaines avant que le Bureau de l'information statistique publie ces données. En effet, celles-ci sont vérifiées par l'OFS et corrigées par les services centraux de l'UNIGE avant d'être disponibles pour établir les statistiques définitives.

Dans certains cas (par exemple entre la rentrée académique de septembre et l'extraction définitive), le Bureau de l'information statistique peut accéder à la Base vivante des étudiant-es afin de répondre à des requêtes urgentes. Ces données seront toutefois toujours indiquées comme étant provisoires, cette base étant actualisée tous les lundis.

Le nombre d'étudiant-es indiqué dans la publication Statistique universitaire et diffusé par le BIS provient d'une extraction annuelle du nombre d'étudiant-es immatriculé-es dans chaque formation à un moment donné (en novembre de chaque année), une fois les exmatriculations et régularisations de cursus terminées. En revanche, au niveau des facultés et centres interfacultaires,  le nombre d'étudiant-es inscrit-es varie chaque jour et tient compte des changements de formations et/ou de facultés/centres, des abandons, etc.

Ceci est dû au fait que l'ensemble des données consolidées n'est disponible qu'à partir de la mi-février. En effet, les premières données sont extraites en novembre (corps étudiant), puis en janvier (personnel) et en février (diplômes). De ce fait, l'analyse des données ainsi que la rédaction de la publication nécessite du temps et ne peuvent être finalisées avant mars au plus tôt.

Toutefois, les données détaillées au format excel sont mises en ligne par lots le plus tôt possible, avant la publication complète de la brochure.

Il a été décidé d'éviter de faire paraître des informations redondantes avec une autre publication de l'Université. Ainsi, toute personne intéressée par le budget de l'Université peut demander à recevoir le rapport du budget directement à la Division financière.

L'OFS récolte auprès des hautes écoles universitaires suisses une série de données relatives aux étudiant-es, aux diplômes délivrés, aux crédits ECTS évalués ainsi qu'au personnel rémunéré. Pour chacun de ces domaines, des critères très stricts définissent ce qui doit ou non être livré à l'OFS. Pour le domaine étudiant-e par exemple, l'OFS ne considère pas les certificats complémentaires de moins de 60 crédits. Aussi, les doublons entre HEU sont retirés de la haute école non principale selon l'accord établi entre les institutions concernées.

Les données de l'OFS sont classifiées selon les branches du Système d'informations universitaire suisse (SIUS).

La statistique du personnel est souvent exprimée en nombre de postes en équivalents plein temps. Une personne travaillant à 50% sera équivalente à 0.5 EPT.

En collaboration avec les hautes écoles universitaires suisses, l'OFS a élaboré une classification SIUS pour les catégories de personnel. Le détail est disponible dans le document ci-dessous.

Nomenclature Catégorie de personnel SIUS (OFS).pdf

La correspondance entre les fonctions OFS et les fonctions UNIGE se trouve dans ce document :

Correspondance fonctions OFS-UNIGE.pdf

 

Un poste peut être divisé entre plusieurs personnes (par exemple : un poste à plein-temps peut être divisé entre 2 personnes à mi-temps). Les postes indiqués dans les statistiques sont toujours mesurés en « équivalents plein temps » afin de tenir compte de cette ambigüité.

Les meilleures prévisions disponibles se trouvent sur le site de l'OFS : Prévisions du nombre d'étudiants pour l'ensemble des Hautes écoles universitaires suisses

Le Bureau de l'information statistique peut dans certains cas fournir des prévisions sur demande.

Pour la Suisse, la meilleure source disponible est sur le site de l'OFS. Pour l'UNIGE, ce type de question peut être posé à l'Observatoire de la vie étudiante.

Cela dépend du type d'information recherchée. S'il s'agit du pays de provenance de l'étudiant-e ou de son type de certificat lui donnant l'accès à l'UNIGE, le Bureau de l'information statistique peut vous répondre. S'il s'agit du parcours primaire ou secondaire des étudiant-es, mieux vaut s'adresser (pour Genève) au Service de la Recherche en éducation (SRED), ou à l'Office fédéral de la statistique (OFS) pour la Suisse.

Chaque Faculté/Centre interfacultaire dispose de ses propres règlements d'études qui sont spécifiques à chaque formation. D'une entité à l'autre, la définition de la Première année peut différer ou ne pas exister (Première partie, Premier cycle par exemple).

Néanmoins, d'autres informations sont à notre disposition pour calculer cette notion en effectuant un suivi de cohortes (Année d'immatriculation, Semestre d'études, Semestres de présence, etc...).

Les comparaisons entre Hautes écoles suisses sont disponibles sur le site de l'OFS. Les comparaisons internationales sur le site de l'OCDE ou sur le site d'Eurostat.

Plusieurs raisons l'expliquent :

  •  Au niveau politique, les hautes écoles suisses ne souhaitent pas communiquer ce type d'information à un large public;
  • Au niveau technique, l'application ECTS qui gère l'attribution de crédits ECTS lors de la passation d'examens n'est pas adaptée pour effectuer du reporting ou calculer des indicateurs de réussite; seule une utilisation opérationnelle au niveau des entités académiques est possible;
  •  Au niveau méthodologique, compte tenu de la diversité des règlements d'études, il est extrêmement complexe de s'accorder sur une définition commune de la réussite selon les facultés/centres interfacultaires considérés.