Soutien aux programmes

Évaluer avec une grille d'évaluation

Encadrer la subjectivité lors de l’évaluation des apprentissages, c’est possible !

Nous vous conseillons de recourir à une grille d’évaluation.

Qu’est-ce qu’une grille d’évaluation?

La grille d’évaluation est un outil qui peut aider à former un jugement sur les apprentissages complexes réalisés par les étudiant-es selon plusieurs spécialistes dont Scallon (2004). Elle peut être utile pour apprécier les connaissances et compétences que les étudiant-es démontrent au moyen d’une présentation orale, d’un travail ou d'un examen écrit, d’une manipulation en laboratoire, d’un projet de groupe, etc.

La grille prend le plus souvent la forme d’un tableau. Ce tableau explicite habituellement les critères d’évaluation qui servent à évaluer la production et contient une description des niveaux de performance possibles ou attendus de la part des étudiant-es (Stevens & Levi, 2013).

Voici un exemple de grille à deux critères et trois niveaux de performance pour évaluer une présentation orale d’un poster scientifique portant sur une recherche en biologie:

 ExcellentSatisfaisantInsatisfaisant
Exactitude des informations contenues dans le poster La totalité des faits et données est exacte La majorité des faits et données est exacte La majorité des faits et données est inexacte
Respect de la durée fixée pour l’exposé (10 minutes) L'exposé dure entre 9min30 et 10min30. La durée de l'exposé est inférieure à 9 min.30 ou supérieure à 10min30 La durée de l'exposé est inférieure à 8 min. ou supérieure à 12 minutes.

Pour apprécier la production de l’étudiant-e, il s’agit pour la ou les personnes qui évaluent de croiser les critères d’évaluation (à gauche dans le tableau) et les niveaux de performance (excellent, satisfaisant, insatisfaisant).

D’autres éléments peuvent aussi être intégrés dans une grille, par exemple un barème de pondération et des espaces pour les commentaires (Prégent, Bernard, & Kozanitis, 2009). L'onglet «Elaborer une grille» présente ces différents éléments.

Pourquoi recourir à une grille ?

 Les bénéfices recensés dans la littérature sont nombreux. En voici quelques-uns:

Un avantage important qu’offre la grille est d’encadrer la subjectivité lors de l’évaluation des apprentissages (Berthiaume, David, & David, 2012). La subjectivité est inhérente à l'acte d'évaluer, mais une dérive possible est qu'elle rende notre jugement moins valide ou moins fiable (Romainville, 2011). Sans le vouloir ni même s’en rendre compte, on peut parfois se laisser influencer par notre humeur, notre fatigue, la sympathie que l’on éprouve pour un étudiant, l’ordre des copies à corriger, etc. Utiliser une grille permet de réduire la portée de plusieurs biais.

Avec une grille, l’évaluation gagne en fidélité selon plusieurs auteur-es dont Berthiaume et Rege Colet (2013), puisqu’on considère systématiquement les mêmes éléments (critères, niveaux de performance, barème). La correction est stable puisque la grille nous empêche d’ajouter de nouveaux critères en cours de route. Notre degré de sévérité ou de clémence est défini à l’avance et ne fluctue pas en fonction du moment où l’on effectue la correction. La grille peut aussi aider à réduire les divergences et les écarts d’interprétation lorsqu’il y a plusieurs personnes qui corrigent une même production.

L’évaluation peut aussi gagner en validité grâce à l'utilisation d'une grille, selon une revue de littérature réalisée par Brookhart et Chen (2015). La grille permet notamment de formaliser la cohérence entre les apprentissages en principe développés et les apprentissages évalués. Si les critères sont alignés avec les objectifs d’apprentissage (learning ouctomes) visés par l’enseignement, il devient alors plus difficile de tomber dans le piège de considérer des facteurs externes qui n’ont pas fait l’objet d’un enseignement. En savoir plus sur les learning ouctomes.

Les étudiant-es apprécient généralement les grilles (Reddy & Andrade, 2010). La population étudiante apprécie les efforts visant à rendre l’évaluation plus transparente et équitable. Communiquer la grille est un moyen efficace d'informer les étudiant-es de ce qui est attendu (Stevens & Levi, 2013). Cela les aide à décoder les exigences, qui sont souvent implicites et qui peuvent varier d'un enseignement à l’autre. La grille, lorsqu'elle est connue à l'avance, est rassurante pour plusieurs.

Elle permet de garder une trace de l’évaluation qui facilite le feed-back (Stevens & Levi, 2013). Sans grille, il peut être difficile de se souvenir du raisonnement suivi pour attribuer la note. Lorsque vient le temps de fournir un feed-back à l'étudiant-e, la grille est une alliée. Elle permet d’offrir un retour précis qui permet aux étudiant-es de faire le point sur leurs compétences, mais aussi d’identifier les éléments à améliorer pour la prochaine fois.

La correction peut être plus rapide grâce à la grille (Stevens & Levi, 2013). Plusieurs enseignant-es estiment que le temps investi en amont de l'évaluation pour élaborer la grille est rentabilisé au moment de l'évaluation. Puisque les décisions concernant l'évaluation sont prises à l'avance, lors de la correction il ne reste en principe qu'à les appliquer.

Quels éléments intégrer dans ma grille?

Une grille peut contenir les éléments suivants (Prégent, Bernard, & Kozanitis, 2009):

  • la description de la tâche à évaluer
  • les dimensions (ou composantes) de la tâche sur lesquelles on souhaite porter un jugement
  • les critères d’évaluation associés à chaque dimension
  • les niveaux de performance pour chaque critère, associés à une échelle d'appréciation
  • un barème de pondération
  • un ou plusieurs espaces pour les commentaires

La grille peut être plus ou moins détaillée. Si elle contient tous les éléments mentionnés ci-dessus, elle sera plus contraignante. Résultat: elle encadrera mieux la subjectivité lors de l’évaluation. Si elle ne contient que quelques éléments (par exemple, seulement la liste des critères et un espace pour des commentaires), elle offre plus de flexibilité à la personne qui évalue, mais ouvre la porte à davantage de subjectivité (Berthiaume & Rege Colet, 2013).

Bref, la grille est un outil à géométrie variable: sa composition varie en fonction de vos objectifs, de vos préférences personnelles et de l’utilisation que vous souhaitez en faire. On peut bien sûr adapter la grille en fonction du type d’évaluation. Par exemple, lorsqu’il s’agit d’observer une action «en direct» certaines personnes préfèrent opter pour une liste de comportements ou éléments attendus, assortis d’une échelle «présent/absent».

Comment procéder pour la construire?

Voici quelques étapes qui peuvent vous guider dans l’élaboration de votre grille, accompagnées de quelques conseils. Cette proposition de démarche s'appuie sur la littérature consultée (voir l'onglet «Lectures», en particulier Stevens & Levi, 2013) et se nourrit du retour d'expérience d'enseignant-es de l'UNIGE.

1. Identifiez la tâche à évaluer

Fournissez à vos étudiant-es une description précise de l’activité à réaliser. A noter que la grille sera surtout utile pour évaluer des apprentissages de haut niveau au moyen de tâches complexes (œuvre personnelle, exposé oral, examen à développement, recherche, projet, travail écrit, résolution de problème, etc.).

Exemples de tâches

  • Présenter oralement (en 20 minutes maximum) les résultats d’analyses effectuées en laboratoire.
  • Élaborer collectivement un travail de 5 pages expliquant et illustrant une technique de marketing.
  • Résoudre un problème éthique en 500 mots maximum en détaillant les étapes de raisonnement.

Question à se poser

Quelle activité permettra à chaque personne de «prouver» qu’elle a atteint les objectifs d’apprentissage visés par mon enseignement?

2. Déterminez les dimensions à évaluer

Choisissez les dimensions de la tâche auxquelles vous souhaitez accorder de l’importance lors de l’évaluation. Ces dimensions peuvent être des connaissances, des compétences, des attitudes, des aspects de la production attendue, des étapes de réalisation, des marques de progrès, etc.

Il n’est pas toujours nécessaire ni pertinent d'évaluer toutes les dimensions possibles. Cela va dépendre des objectifs visés par votre enseignement. Par exemple, si vos étudiant-es doivent présenter un exposé oral, il peut être pertinent d’évaluer la qualité du support PowerPoint si cela fait partie des apprentissages à développer dans le cadre de votre cours, et que c'est aspect est enseigné. Si apprendre à élaborer des supports de présentation ne fait pas partie des objectifs ciblés par votre enseignement, ce n’est peut-être pas cohérent d’en faire une dimension dans la grille, surtout si l’épreuve est comptabilisée pour la note finale (évaluation certificative). L’enjeu est de refléter dans la grille les principaux aspects abordés dans votre enseignement.

Exemples de dimensions

  • Maîtrise des contenus disciplinaires
  • Introduction / développement / conclusion / bibliographie
  • Démarche de préparation / manipulations en laboratoire / rapport de laboratoire
  • Production écrite / soutenance orale du travail écrit
  • Amélioration (depuis une précédente version)
  • Collaboration

Questions à se poser

Quelles parties de l’activité correspondent aux principaux objectifs d’apprentissage visés par mon enseignement? Certaines parties sont-elles moins essentielles et à exclure de la grille?

3. Formulez les critères d’évaluation

Identifiez les qualités attendues à l’intérieur de chaque dimension. Les critères constituent vos références, qui vous permettent d’apprécier la production ou le processus mis en œuvre par l’étudiant-e.

Exemples de critères

  • Exactitude des faits
  • Pertinence des théories citées
  • Précision des manipulations
  • Utilisation adéquate des outils
  • Fiabilité des sources consultées
  • Respect des normes bibliographiques
  • Qualité technique du PowerPoint

Quelques conseils

  • Alignez vos critères avec les objectifs d’apprentissages (learning outcomes). Cela vous permet de distinguer les apprentissages essentiels et de ceux qui sont accessoires. En savoir plus sur les learning ouctomes.
  • Évitez les critères redondants, au risque de récompenser ou pénaliser plusieurs fois l’étudiant-e pour une même qualité ou défaut. Limiter le nombre de critères est un bon moyen d’éviter les recoupements.
  • Privilégiez une seule qualité par critère. Si vous avez un critère double, par exemple «Nombre et pertinence des sources citées», il sera plus difficile d’apprécier les cas où une seule des qualités est présente (par exemple, le nombre est adéquat mais les sources ne sont pas pertinentes, ou vice-versa).
  • Choisissez des termes précis. Qu’entend-on par «professionnalisme»? Si cela est matière à débat entre les personnes qui vont utiliser la grille, c’est qu’il est encore possible de préciser le critère.

Questions à se poser

Quelles sont les qualités que je recherche dans la production de l’étudiant-e? Sur quels éléments vais-je me baser pour porter mon jugement?

4. Identifiez les niveaux de performance possibles

Il s’agit de déterminer le nombre de niveaux de performance possibles. En général, on privilégie un continuum de 2 à 4 niveaux (Berthiaume & Rege Colet, 2013). On évite idéalement les échelons «neutres», pour s’obliger à prendre position.

Exemples de niveaux

  • Réussite – Echec
  • Avancé – Intermédiaire – Débutant
  • Accepté – A retravailler – A refaire
  • Excellent – Bon – Passable – Insuffisant
  • Très bien – Bien – Acceptable – Inacceptable

Dans ces exemples les échelons sont désignés par des mots, mais certaines personnes utilisent aussi des lettres ou des symboles.

Ensuite, décrivez ces niveaux.

La description peut être quantitative et/ou qualitative. Privilégiez les descriptions précises mais courtes. Évitez les mots ambigus («partiellement», «plutôt», «assez»…). Veillez à ce que les différents niveaux soient mutuellement exclusifs.

Exemples de descriptions

 AcceptableInacceptable
Lisibilité de l’affiche Tous les éléments de l’affiche sont lisibles Certains éléments de l’affiche sont illisibles
Qualité du français ≤ 5 fautes Plus de 5 fautes

 

Questions à se poser

Qu’est-ce qui caractériserait un travail «excellent», «satisfaisant», «insatisfaisant»? Concrètement, quels sont les éléments observables (indicateurs) qui caractérisent chaque niveau? Quelles sont les variations possibles d’une production à l’autre?

5. Établissez un système de calcul de points

La pondération est l’importance relative des éléments de la grille, le poids accordé à un élément par rapport aux autres. Elle peut être définie pour chaque dimension et/ou pour chaque critère. Elle est parfois exprimée en valeur numérique ou en pourcentage.

Le barème de points sert à calculer le résultat, le score. Il peut être générique (par niveau de performance) ou différencié (par critère).

Exemple de barème générique:

Exemple de barème générique

L’étudiant-e obtient toujours le même nombre de points lorsque sa prestation est excellente (3 points), satisfaisante (2 points) ou insatisfaisante (1 point). Le score se calcule par le moyen d’une règle de trois, en considérant la pondération en pourcentage de chaque dimension.

Exemple de barème différencié:

Exemple de barème différencié

Le nombre de points peut différer d’un critère à l’autre. Pour calculer le score, il s’agit d’additionner les points de chaque cellule de la grille.

6. Prévoyez un ou plusieurs espace(s) pour les commentaires

Les commentaires peuvent être spécifiques à chaque critère ou généraux, par exemple au bas de la grille. Ils peuvent consister en des observations personnalisées, des nuances, des explications, des orientations pour guider la progression, des pistes d’amélioration, une appréciation globale, etc.

Besoin d’un récapitulatif?

Visionnez un aperçu pas à pas des étapes possibles pour construire votre grille.

Vous êtes à la recherche d'une autre démarche, d'un autre type de grille? N'hésitez pas à nous contacter.

Dans quels contextes recourir à une grille?

Il est particulièrement judicieux d’utiliser une grille:

  • pour évaluer une tâche complexe, comme un travail écrit, une présentation orale, un examen à développement, des interactions avec des patient-es, une expérience en laboratoire, une production artistique, etc. Autrement dit, il est utile de recourir à une grille lorsqu’il y a plusieurs dimensions à évaluer. Lorsqu’il s’agit de corriger des réponses « simples », par exemple des questions à réponses courtes ou des questions à choix multiples, un corrigé (liste des réponses acceptées) suffit habituellement (Berthiaume, David, & David, 2012).
  • pour évaluer à plusieurs. La grille, surtout lorsqu’elle est élaborée collectivement, peut aider l’équipe trouver un consensus sur la manière d’évaluer. Cela peut avoir une incidence positive sur la concordance des jugements, un élément important lorsque l'évaluation fait appel à plusieurs juges (Scallon, 2004).
  • pour communiquer vos attentes à vos étudiant-es. La grille est l’outil par excellence pour exprimer vos exigences de façon explicite. Ceci dissipe les malentendus autour de l’évaluation et augmente la probabilité que les productions rencontrent effectivement vos attentes (Stevens & Levi, 2013).
  • pour encourager vos étudiant-es à auto-évaluer leurs productions et/ou évaluer celles de leurs pairs (Reddy & Andrade, 2010). L’auto-évaluation permet de mesurer soi-même ses progrès et ses lacunes. Cela contribue à responsabiliser les étudiant-es vis-à-vis de leurs études et à développer leur sens critique. Évaluer leurs pairs à l’aide d’une grille peut aussi renforcer leur propre compréhension des critères et indicateurs.
  • pour donner du feed-back aux étudiant-es, que ce soit dans le cadre d'une évaluation formative ou certificative (Stevens & Levi, 2013). La grille peut être utilisée en cours d’apprentissage, dans une visée d’évaluation formative. Dans ce cas, elle aide l’étudiant-e à identifier les connaissances et compétences  acquises et celles à consolider. Elle peut aussi accompagner les résultats d’une évaluation certificative, afin d’aider l’étudiant-e à comprendre sa note et mesurer son progrès sur certains aspects depuis une précédente évaluation.

Quel format privilégier?

Si le format papier est très souvent utilisé, certains enseignant-es utilisent la fonction grille pour les activités de type Devoir sur Moodle. Pour en savoir plus, lisez la fiche Évaluer avec une grille d’évaluation sur Moodle ou contactez elearning(at)unige.ch.

À qui communiquer la grille et à quel moment?

Communiquer toute la grille, une partie de la grille, ne pas la communiquer: le choix vous revient. Tout comme le choix du moment (avant ou après l’épreuve). Notre équipe peut accompagner votre réflexion pour faire le choix le plus pertinent dans votre contexte.

Quelques bonnes idées

Voici quelques astuces pour élaborer votre grille. Ces stratégies sont déployées par plusieurs enseignant-es à l'UNIGE. Elles rejoignent les conseils donnés par Stevens et Levi (2013) et Berthiaume et Rege Colet (2013).

  • Concevoir simultanément l’évaluation et la grille, afin d’aligner le plus possible les consignes avec les critères d’évaluation. 
  • Impliquer d’autres personnes. Vous pouvez par exemple solliciter le retour d'étudiant-es suivant ou ayant suivi votre cours, de collègues, de conseillers ou conseillères pédagogiques, etc. sur un premier jet de votre grille. Cela permet généralement d’identifier les éventuelles ambiguïtés ou limites de votre outil. Si vous serez plusieurs à utiliser la grille, cette étape est cruciale pour obtenir un consensus autour de l'outil.
  • Communiquer la grille aux étudiant-es le plus tôt possible. Il est souvent utile de prendre un moment pour expliquer le contenu de la grille à leur intention. Cela leur donne l’opportunité de se renseigner sur vos attentes et de demander des clarifications au besoin. Cela leur permet également d'adapter leurs stratégies d’apprentissage pour atteindre le niveau souhaité.
  • Tester la grille, par exemple en utilisant des copies des années précédentes. Cela permet de déterminer les ajustements nécessaires, par exemple supprimer, ajouter, reformuler ou changer l’ordre d’apparition de certains éléments de la grille.
  • Auto-évaluer votre grille. Le pôle SEA met à votre disposition une méta-grille pour faciliter ce travail. Notre équipe est aussi à votre disposition pour faire ce travail de révision avec vous.
  • S’inspirer des outils existants. Les grilles conçues par d’autres enseignant-es peuvent servir de point de départ pour élaborer la vôtre. Découvrez des exemples ci-dessous, à adapter selon votre contexte particulier.

Quelques exemples

Téléchargez ici quelques exemples de grilles pour évaluer une expérience en laboratoire, une affiche scientifique, un exposé oral, un travail de recherche, la capacité de travailler en équipe.

D’autres exemples sont disponibles:

Vous utilisez une grille?

Accepteriez-vous de mettre à disposition votre grille pour inspirer d’autres personnes? Écrivez-nous: sea(at)unige.ch

Références consultées

 BERTHIAUME, D., DAVID J., & DAVID, T. (2012). Réduire la subjectivité lors de l’évaluation des apprentissages à l’aide d’une grille critériée: repères théoriques et applications à un enseignement interdisciplinaire, Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur, 27(2). En ligne (consulté le 22 février 2012): http://ripes.revues.org/524

BERTHIAUME, D., & REGE COLET, N. (2013). Comment développer une grille d’évaluation des apprentissages? In D. Berthiaume & N. Rege Colet (Eds.), La pédagogie de l'enseignement supérieur : repères théoriques et applications pratiques, Vol. 1, 269-283. Berne: Peter Lang.

BROOKHART, S.M., & CHEN, F. (2015). The quality and effectiveness of descriptive rubrics, Educational Review, 67(3), 343-368.

PRÉGENT, R., BERNARD, H., & KOZANITIS, A. (2009). Enseigner à l’université dans une approche-programme. Montréal: Presses Internationales Polytechnique.

REDDY, Y. M., & ANDRADE, H. (2010). A review of rubric use in higher education. Assessment & Evaluation in Higher Education, 35(4), 435-448.

ROMAINVILLE, M. (2011). Objectivité versus subjectivité dans l’évaluation des acquis des étudiants. Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur, 27(2). En ligne (consulté le 15 octobre 2015): http://ripes.revues.org/499

SCALLON, G. (2004). L’évaluation des apprentissages dans une approche par compétences. Saint-Laurent: ERPI.

STEVENS, D. D., & LEVI, A. J. (2013). Introduction to rubrics: an assessment tool to save grading time, convey effective feedback and promote student learning (2e éd). Sterling, Virginia: Stylus Publishing.

Ressources pour aller plus loin

 HOUART, M., BAILLIEUL, D., RAVET, I., & ROMAINVILLE, M. (2012). Comment réduire la subjectivité de l’évaluation? Réseau – Revue au service de l’enseignement et de l’apprentissage à l’Université, 78. En ligne (consulté le 12 mai 2016):  https://www.unamur.be/det/spu/revue-reseau

JONSSON, A., & SVINGBY, A. (2007). The Use of Scoring Rubrics: Reliability, Validity and Educational Consequences, Educational Research Review 2(2), 130-144.

LOVITTS, B. R. (2007). Making the Implicit Explicit: Creating Performance Expectations for the Dissertation. Sterling, VA: Stylus Publishing.

MARTIN, E., LEFRANÇOIS, C., GUICHARD, A., TAPP, D., & ARSENAULT, L. (2016). Processus de coconstruction d’une grille critériée pour l’évaluation de productions écrites complexes à l’université, Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur, 32(2). En ligne (consulté le 14 septembre 2016): http://ripes.revues.org/1094

TARDIF, J. (2006). L’évaluation des compétences: documenter le parcours de développement. Editions de la Chenelière.

Un blog

«Enseigner et Apprendre en Enseignement Supérieur», par Amaury Daele (UNIL). Plusieurs entrées relatives aux grilles, qui comprennent de nombreux liens, conseils, et outils: http://pedagogieuniversitaire.wordpress.com/?s=grille

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